Abstraction Gnomonique 11B

100,00

Abstraction Gnomonique 11 B, 2020
100 exemplaires numérotés et signés par l’artiste
impression offset sur papier
420 x 594 mm

Abstraction Gnomonique 11 A, 2020
100 exemplaires numérotés et signés par l’artiste
420 x 594 mm

100 € l’un et 150 € les deux
+ 8 € de frais d’envoi

49 en stock

Catégorie :

Description

Ces deux éditions font suite aux expositions Gnomonica présentée, en 2019, au musée national d’art contemporain de Bucarest, suite Gnomonique présentée, en 2020, au Portique au Havre et Abstraction Gnomonique présentée actuellement à la galerie Michel Rein à Bruxelles. Dans ces expositions les œuvres présentées témoignent de l’intérêt de Raphaël Zarka pour les monuments gnomoniques (art de concevoir, calculer et tracer des cadrans solaires). Dans ces deux compositions, les motifs renvoient aux figurent que l’on trouvait sur les cadrans solaires écossais du XVIIème et XVIIIème siècle.

Sciences et histoire de l’art constituent les bases sur lesquelles l’artiste construit son travail, livrant une réflexion sur la permanence et la survivance, la persistance des connaissances et des formes. une démarche qui n’occulte pas la possible relecture et mutation de ces mêmes formes, afin d’éviter de les figer. Déclinant le langage sculptural à travers les époques, Raphaël Zarka poursuit son exploration artistique, tout en questionnant les connaissances d’antan et savoirs ancestraux. multipliant les formes et les sources d’inspiration, il revisite des géométries historiques, s’autorisant une émancipation anachronique en relisant les objets et les savoirs à l’aune du XXIe siècle.

Notre première collaboration avec Raphaël Zarka date de 2008. Avec Guillaume Constantin, ils avaient réalisé une exposition dont le point de départ était leur intérêt commun pour les textes de Roger Caillois. Paradoxe du trésor, titre d’un texte issu de “Cases d’un échiquier” (1970), proposait un ensemble inédit de travaux des deux artistes choisis par Guillaume Constantin. Dans le journal horsd’oeuvre n°46 – Dipla Pragmata, Nicolas-Xavier Ferrand fait à nouveau appel à l’écrivain en le citant : « Dans un numéro du Surréalisme au service de la révolution, Roger Caillois précise : « L’objet déborde toujours de l’instrument car un objet ne justifie jamais complètement sa forme », renvoyant à l’apparente ubiquité de la chose, dont l’identité flotte entre l’apparence et l’usage. » Vous trouverez, sous forme de poster l’une des deux Abstraction Gnomonique de Raphaël Zarka, en double page centrale de ce numéro.

Raphaël Zarka a notamment été exposé à la Tate Modern (Londres), Centre Pompidou Metz, Palais de Tokyo (Paris), MAXXI – Museo Nazionale delle Arti del XXI secolo (Rome), Museo Experimental el Eco (Mexico), Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris (Paris), Protein Studio (Londres), Museum of Contemporary Art – MOCAD (Détroit), Luciana Brito Galeria (São Paulo), Institute of Contemporary Arts Singapore (Singapour), Fondation Le Corbusier – Villa Savoye (Poissy), EACC – Espai d’art Contemporani de Castelló (Castellon), MUDAM – Musée d’art moderne Grand-Duc Jean (Luxembourg), Stroom Den Haag (La Haye), Pastificio de Cerere (Rome), CAN (Neuchâtel), The Art Foundation – TAF (Athènes), Modern Art (Oxford), Zabludowicz Collection (New York), Le Grand Café (Saint-Nazaire), Les Abattoirs (Toulouse), FRAC Franche Comté (Besançon), Performa 11 (New York), New Visual Art Performance Biennial (New York).Son travail est présent dans de prestigieuses collections comme Centre Georges-Pompidou (Paris), Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, BPS22 – Musée d’art de la Province de Hainaut (Charleroi), MIMA Museum (Brussels), MUDAM – Musée d’art moderne Grand-Duc Jean (Luxembourg), Kadist Art Foundation (Paris), Zabludowicz Foundation (Londres), Museum of Old and New Art (Hobart), Collection Josée et Marc Gensollen